15 h 30 : Chirac
Après Lionel Jospin, c’est Jacques Chirac qui se rend sur les lieux accompagné du maire avec lequel il est resté en contact téléphonique toute la matinée.
Il a écourté la visite du président sénagalais à l’Elysée : « Désolé, mais c’est vraiment la catastrophe ». Il ne s’attarde guère, visite des ouvriers, serre des mains. Cinq minutes, guère plus. Indifférent, le regard hagard, un homme vêtu d’un vieux blouson de cuir passe devant l’entrée de feu AZF, après le cortège d’officiels, au milieu des journalistes. Il vient depuis l’hôpital Marchant tout proche, s’en va Dieu sait où...
Au centre des secours quelques instants plus tard, le président de la République rend hommage aux sauveteurs « immédiatement opérationnels » et exprime sa compassion pour les victimes.
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